Libre ou privatif, une question de logiciels

Début 2009, j’avais rédigé une étude prospective et stratégique sur les logiciels libres et privatifs. Six ans plus tard, ce document ne manque pas de pertinence. Il commençait ainsi:

Depuis quelques temps, le logiciel libre semble constituer une alternative crédible au logiciel commercial. Cette alternative concorde avec un sentiment général hostile aux grandes firmes éditrices de logiciels.

Polarisés par le contrôle des dépenses et mus par une attitude inamicale vis-à-vis des éditeurs commerciaux, certains politiques demandent que la voie du logiciel libre soit sérieusement examinée par les instances techniques des administrations.

De plus, dans un monde qui propose des modèles gratuits, payants ou payés par des tiers, il devient difficile d’objectiver les modèles économiques. Devant des repères instables, les montants exigés pour l’utilisation de logiciels semblent élevés alors que la contrepartie est intangible.

Le choix d’une plate-forme logicielle est une décision stratégique qu’il convient d’aborder avec prudence et responsabilité. Il ne s’agit pas de choisir des solutions qui « semblent » bonnes mais des solutions qui préservent au mieux les intérêts de ceux qui consentent des investissements.

A défaut de constituer une étude comparative exhaustive, ce document traverse quelques sujets liés aux logiciels libres et commerciaux qui me semblent intéressants.

La suite de l’étude est téléchargeable ci après : Etude prospective

Ce contenu a été publié dans Informatique, Stratégie, avec comme mot(s)-clé(s) , , , , . Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.

Laisser un commentaire